|
2011, "Wir sind Berliner ! "
Depuis que le mur est tombé, j'avais toujours eu
envie de voir cette célèbre capitale historique. Et bien, nous y voici. Après un
départ matinale (04.30), Eric nous emmène à bord de son cabrio fermé en
direction de l'aéroport de Milano Malpensa en passant par le Simplon. On arrive
encore une fois a se brouter pour trouver la route de l'aéroport, mais, ... on y
arrive. Et le vol se fait sans soucis...
A l'aéroport de Berlin Schönfeld, nous partons à la
recherche de notre moyen de transport dans Berlin. On utilisera une carte groupe
pour aller au centre (presque à l'hôtel). Là-bas, l'hôtel nous propose la carte
métro 3 jours... et c'est parti pour la visite. Tout d'ab, sur un bus qui nous
fera faire le tour de la ville. Ca, c'est le truc idéal pour dégrossir la
visite. Tu vois tout ce qui est important...
Le 2ème jour est réservé au commission, donc,
on shop... Le soir, on se retrouve dans un bistrot du coin spécialisé dans le
vin. On y découvre les crus du coin ainsi que ... la décoration. Après avoir
mangé le bretzel incriminé, nous dégustons et désinfectons le tous. Et tout se
terminera bien... à la "Route 66" par un dernier coktail.
L'histoire fera partie de notre visite du 3ème
jour. Point Check Charlies,... heu... bref, la découverte de ce point frontière
historique ainsi que de ses alentours. Le soir verra un souper tapas. Un peu
frais mais, les couvertures nous réchauffent un poil... Et Pat se fait le rhume
des vacances... mdr.
Pour le 4ème jour, nous visiterons
Charlottenburg et Spandau où l'on y mangera très bien. Mais, il faut penser au
retour. Donc, nous prenons nos valises et nous nous dirigeons vers Schönfeld
Flughafen. On cherchera un certain temps un "S45" avant d'arrive à nos fins par
d'autre train, sans oublier la frayeur d'un débarquement à l'avance. Pas bien
l'affichage des métros, là...
On redécolle vers Milan dans un bordellique
embarquement. Arrivé à Milan, la température nous surprend. Nous reprenons la
cabrio d'Eric qui nous mènera à bon port. Arrivée à la maison 00.30.
Merci pour cette superbe et intéressante ballade !
Et le dicton d'Eric :
La météo de Berlin, seule, fait son destin ! |
