En 1997, c'est le 2ème
passage sur la presqu'île de Djerba. La mer, la chaleur et l'air iodé nous
ramena sur le sable et les plages tunisiennes. Un hôtel 5*, une piscine
formidable, des barmans super chouettes et une cuisine italienne à faire pâlir
les Italiens. C'est ce qu'il y a avait le plus d'ailleurs.
L'épopée avait mal
commencé. Une chambre dans un couloir allongé et petit ne me plut guère. Dès
le premier jour, j'adressais une réclamation au responsable KUONI qui s'occupa
de nous illico presto. Et une engueulée au responsable de l'hôtel avec un petit
tour pour voir si une autre chambre dans un autre hôtel était libre. Rien ne
fut trouvé.
Pourtant, au 2ème jour, la chambre espérée nous fut libérée et
attribuée. Et en avant pour de belles vacances. La mer et ses vagues nous
attira de prime abord. Ce me fut fatale ! Le petit courrant frais à la sortie
avec un climatisation un peu trop violente me conduisit droit à la grippe pour la
dernière semaine. Pas violente, mais juste emm...
Je ne me laissais pas aller
pour autant. Les barmans du coin et l'homme au thé m'ont vite requinqué. Visite
des villages et du chef lieu avec petits cadeaux, petite ballade à cheval et
c'est Emilie qui fut la reine. C'est fou ce que la petite fille a de
l'importance là-bas. Après 2 semaines c'est le retour à la maison. Le
médicament pris là-bas ne me laissa pas tranquille pour la dernière semaine à
Vercorin. Et une semaine de chi...
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